[Sport] arts martiaux : un gabonais champion de France du Jiu-Jitsu brésilien

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Lord EKOMY NDONG, un gabonais résidant en France, a été sacré du Champion de France du Jiu-Jitsu brésilien le lundi 20 juin dernier. Très connu, pendant longtemps, du grand public gabonais sous la casquette d’ artiste rappeur, appartenant au groupe musical MAUVAISALAINE, EKOMY NDONG, toujours aussi performant vient de décrocher des médailles dans sa discipline. Des médailles qui, depuis lors, arrêtent pas de faire  »jazzer » dans son Gabon natal, où résident plusieurs de ses fans.

Ce lundi 20 juin 2022, l’ actualité sportive en France a été aussi marquée par la finale du Championnat du Jiu-Jitsu du brésilien. Le sacre de cette compétition nationale est revenu , bien heureusement, à Lord EKOMY NDONG, un gabonais résidant en France et, passionné des arts martiaux et de la musique.

PETIT RAPPEL HISTORIQUE

Il est à retenir que, Lord EKOMY NDONG fait parti des grandes figures de l’univers musicale Gabonais, précisément celui du hip-hop.

C’est donc sous le visage de rappeur qu’il a été longtemps connu par ses compatriotes et mélomanes de la musique gabonaise.

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Formant un duo choc avec son compagnon de tous les temps, notamment Maât Seigneur Lion, Lord EKOMY NDONG appartient au groupe musical MAUVAISALAINE. Et, depuis près d’une décennie, les deux hommes susmentionnés se sont exportés vers l’Europe et vivent actuellement dans le pays d’ Emmanuel Macron.

Au regard donc des prouesses incontestables de l’homme dans sa discipline sportive, une opinion nationale s’est permise de croire et de se demander s’il ne serait pas temps de solliciter le retour de Lord EKOMY NDONG et son binôme au Gabon, aux fins de la création d’un club du Jiu-Jitsu brésilien et de la promotion de ce sport, encore moins connu et moins pratiqué par les gabonais.

En revanche, connaissant l’amateurisme managérial singularisant le sport gabonais, depuis des décennies, et consciente des valeurs d’exigence, de rigueur et de patriotisme des sociétaires de MAUVAISALAINE, une autre opinion nationale douterait de la possibilité de ces derniers à donner satisfaction à une telle demande, si elle venait en être formulée.

Par conséquent, selon la même sensibilité, «Lord EKOMY NDONG ferait mieux de poursuivre sa carrière en France, d’autant plus qu’il l’a débutée avec ses propres moyens. Car, dit-on, le Gabon tue ses talents».

Quoiqu’il en soit, de rappeur à pratiquant des arts martiaux , le gabonais, Lord EKOMY NDONG vient de révéler aux yeux du monde, l’étendu et la multiplicité du potentiel qui est le sien. Ce qui porterait à croire qu’à l’intérieur de chaque être humain sommeille un potentiel inestimable, mais qu’on n’exploite pas assez souvent.

AOO.

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