Solidarité nationale : le mouvement Gabao milite pour une allocation familiale de 50.000 et une allocation chômage de 80.000 FCFA
Sur le terrain depuis son lancement officiel d’il ya plus de deux mois, le Mouvement Gabao conduit par M. Franck NGUEMA a, au cours de sa sortie du jeudi 20 juin 2024 dans les quartiers derrière la prison, zone Saveman, et derrière l’Assemblée nationale, annoncé son projet plein d’espérance qui consiste à mettre en place des allocations familiale et de chômage à la hauteur respectivement de 50.000 FCFA par mois et par enfant, et 80.000 FCFA par mois et par chômeur (diplômé sans emploi). Un combat qu’il compte mené une fois représenté au parlement.
Jeudi 20 juin dernier, le Mouvement Gabao a, par le truchement de son directoire, poursuivi sa série de causeries initiée depuis quelques semaines dans le Grand Libreville(Akanda, Libreville et Owendo).
Pour cette récente sortie du 20 juin dernier dans les quartiers derrière la prison Soveman et derrière l’Assemblée nationale, Franck NGUEMA et les siens ont, comme lors des précédentes sortie dans d’autres quartiers de Libreville, présenté aux populations la vision de leur jeune formation politique et citoyenne, écouté l’assistance et procédé à l’installation de sa représentation dans les différentes circonscriptions administratives et politiques visitées.
C’est donc au cours de l’énumération d’un certain nombre de points inscrits dans son programme d’actions pour la construction d’un Gabon nouveau, que Franck NGUEMA s’est appesanti sur la question de la solidarité nationale. L’objectif étant de lutter à sa manière contre les inégalités sociales observables à tous les niveaux de la société gabonaise.
En ce sens, le mouvement Gabao à dit s’engager à défendre la mise en place de l’allocation chômage pour un montant de 80.000 FCFA, qui serait versée aux gabonais détenteurs d’un diplôme mais sans emplois. Ce, durant un an renouvelable si le bénéficiaire est toujours sans emploi.
Aussi, compte t-il défendre la revalorisation de l’allocation familiale pour un montant mensuel de 50.000 franc CFA par enfant, au lieu de 7000 FCFA comme c’est le cas actuellement.
Cependant, n’ayant pas encore d’élus au sein du parlement, il est bien clair que la défense de ce projet par le mouvement Gabao reste conditionnée par la présence massive de ses membres au sein des deux chambres du parlement, notamment au Sénat et à l’Assemblée nationale, au sortir des élections législatives et locales avenirs.
Rappelons que pour se présenter à ces différentes élections, le mouvement Gabao compte tirer ses candidats au sein du peuple qui constituerait sa base et sa principale force.
