Société: la passerelle piétonne de Pretro-Gabon Owendo mise en service
Le mardi 12 novembre dernier, la passerelle piétonne de Petro-Gabon, dans la commune d’Owendo, a été mise en service pour la sécurité des usagers. La cérémonie officielle de mise en service a été présidée par le Ministre des Travaux Publics, le Général de Division, Flavien NZENGUI NZOUNDOU.
La passerelle piétonne de Petro-Gabon, dans la commune d’Owendo, est désormais opérationnelle et exploitable par les usagers.
Livrée dans les délais par l’entreprise adjudicataire BESIX GABON, cette infrastructure est perçue par les autorités et les populations de cette commune du Grand Libreville comme l’ultime solution qui viendrait mettre un terme à la question cruciale d’insécurité routière sur cet axe.
Il est à noter que cette structure métallique aux normes requises s’étend sur 34 mètres de long et 4 mètres de large environ, avec un haut sous passerelle de 6 mètres.
En sa qualité de premier citoyen de la commune qui abrite désormais cette passerelle, le Délégué spécial de la commune d’Owendo, le Général de Division, Arnaud Sandri NOMBO, a salué les efforts consentis par les autorités de la Transition en tête desquelles le Général de Brigade, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, tout en lui exprimant sa profonde gratitude pour le pragmatisme et l’engagement effréné dans la réalisation de ces projets d’infrastructures du Gabon, mais aussi pour le bien-être des populations de sa commune.
Dans la même lancée, le Délégué spécial de la Commune d’Owendo a déclaré que cette passerelle contribuera à «diminuer les accidents de la route et à améliorer le cadre de vie». Ce qui permettrait d’éviter à ses concitoyens des accidents de la route dûs à la traversée de la chaussée.
Quant au premier patron du Ministère des travaux publics, le Général Flavien NZENGUI NZOUNDOU, ce vaste programme qui s’inscrit dans le projet de réalisation des passerelles sur les endroits déjà identifiés à travers le pays est un gain pour le Gabon et donc, «C’est le Gabon qui gagne», a-t-il déclaré.