Chômage au Gabon: Le MNCHG et affiliés exigent la mise à leur disposition de 500 postes budgétaires avant le dialogue national
Ce mardi 12 mars 2024, a eu lieu une sortie de protestation contre le chômage des jeunes et la précarité, organisée par le Mouvement national des chômeurs du Gabon(MNCG). Pour se faire, c’est l’ancienne place de l’indépendance, faisant face au commissariat central de Libreville qui a servi de point de rassemblement et de départ, pour chuter au ministère du budget et des comptes publics.

La colère des jeunes Gabonais frappés par le Chômage ne cesse de prendre de l’ampleur en attendant une prise en compte de leurs revendications, à quelques pas seulement de la tenue du Dialogue national.
Ces compatriotes regroupés au sein du Mouvement national des chômeurs du Gabon(MNCG) et affiliés ont, ce mardi 12 mars 2024, appelé à la mobilisation de tous les chômeurs du Gabon à l’ancienne place de l’Indépendance de Libreville, faisant face au commissariat central.

Ainsi, réceptifs et directement concernés par cette problématique du chômage au Gabon, plusieurs centaines de jeunes à la recherche d’un emploi s’y sont retrouvés et ont marché en direction du ministère du budget et des comptes publics, où ont-ils chuté au rythme de l’hymne national “La Concorde” et des louages à Dieu.
Au menu de leur sortie de ce jour figuraient des revendications liées à leur sortie de la précarité par l’obtention d’un emploi descent. À ce titre, ils disent attendre des autorités la mise à disposition de postes budgétaires pour leurs membres afin de les sortir du chômage dans lequel pataugent-ils , alors qu’ils sont diplômés.
“Nous exigeons 500 postes budgétaires au profit des Gabonaises et Gabonais réunis au sein du MNCG et affiliés, et dont les dossiers ont été déposés dans plusieurs départements ministériels. C’est donc pour, nous une exigence pour croire à la bonne volonté du Gouvernement Ndong Sima ll” signifiait Joël Yannick Nguema Ellang Secrétaire général du Mouvement national des chômeurs du Gabon(MNCG).
Vivement que l’écho de ce mouvement parvienne aux autorités compétentes, en tête desquelles, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la Transition, Chef de l’État, en qui disent-ils avoir foi. Ce, dans l’espoir de voir l’État, via le Gouvernement, intervenir diligemment en faveur de ces compatriotes qui, visiblement, ne savent plus à quel saint se vouer.
Merci beaucoup de relayer ce message les chômeurs souffrent.Je ne souhaite pas que mes enfants vivent à leur époque ce que nous vivons au Gabon.Le chômage persécuté l’âme.Que Dieu étende sa main sainte sur cette problématique du chômage.