Circulation routière : l’axe Ndjolé-Lalara présente actuellement un risque élevé de collisions automobilistes
Rallier l’intérieur du pays par voie terrestre n’est, actuellement, pas sans craintes. Dès obstacles observables sur la route font énormément peur. C’est le cas de l’axe Ndjolé-Lalara, en partance de Libreville, qui présente en ce moment un risque non-négligeable de collision automobilistes. Pour cause, les fortes pluies observées dans cette partie du pays ont causé des éboulements de terrain et fait tomber des arbres sur la route à plus d’un endroit.
La voie terrestre reste l’un des moyens les plus exploités, au quotidien, par la population gabonaise pour se rendre à l’intérieur du pays.
C’est le cas, des axes ralliant Libreville au Woleu-Ntem, à l’Ogooué Ivindo, et même, le Haut Ogooué, en passant par Bifoune, Djolé et lalara.
Bien que la route soit quand-même praticable entre Ndjolé et lalara, il y a lieu de relever le danger auquel sont actuellement exposés les voyageurs par cette voie. Le risque d’accidents est de plus en plus présent ces derniers jours.
En effet, avec les dernières pluies enregistrées ces derniers temps, emprunter cet axe, n’est pas sans conséquences. Car ces pluies ont occasionné des éboulements du sol et, la terre argileuse s’est retrouvée sur la chaussée, en tas opaques, obstruant ainsi la voie sur un côté. Ce qui d’emblée réduit la largeur de la route à ces niveaux.
La conséquence directe de cette situation est que des véhicules ne parviennent notamment plus à passer ces endroits, au même moment, et dans les sens opposés. La route à ce niveau étant réduite à une voie unique.
Aussi, en plus de ces éboulements de terre, on peut constater la présence des arbres tombés sur la voie, l’obstruant et perturbant ainsi la circulation.
Il est d’ailleurs à noter que ces obstacles actuellement présents sur cet axe, y sont même à des endroits très dangereux et sensibles, tels que des tournants et autres courbes de la route.
C’est donc pour alerter, qui de droit, que la rédaction d’Éthique Média Gabon met sous presse cet élément, dans l’espoir que ces obstacles soient rapidement retirés, pour épargner les usagers de cet axe de ce risque d’accidents. Cela éviterait, en même temps, aux autorités compétentes d’agir en médecins après la mort.
H. L.