Le quartier sable, situé dans le deuxième arrondissement de Franceville, pourrait très bientôt être isolé des autres quartiers dans le sens Franceville 2-potos, et du reste de la ville. Pour cause, une érosion a réussi à prendre le dessus sur la voie au niveau du Méga mall, entre le complexe scolaire Marie Ndzamba et le quartier Franceville 2. Une situation qui semble ne pas mouvoir les autorités compétentes.
Situé dans le deuxième arrondissement de la commune de Franceville, le quartier sable est l’un des rares quartiers à forte circulation automobilistes de cet arrondissement. Au regard de sa situation géographique c’est un quartier par lequel plusieurs habitants de cet arrondissement transitent pour se rendre dans des quartiers tel que Ongouégné, etc.
Cependant, l’état actuel de la route à sa sortie, en direction de Franceville 2 pour se rendre au grand marché de la capitale altogovéenne, potos, pourrait bientôt être hors service après quelques longues journées et nuits pluvieuses.
En effet, un ravin géant s’est érigé à la sortie du quartier sable, précisément au niveau de l’établissement commercial Méga mall, situé entre le complexe scolaire Marie Ndzamba et le quartier Franceville 2. Déjà très évolué, ce vaste troue a déjà réussi à s’emparer de plus de la moitié de la voie à ce niveau.
Ainsi, il ya lieu de croire que si rien n’est fait sous peu, avec le retour très remarquable de la saison des pluies, plus aucun automobiliste ne pourrait passer cet endroit. Cela pourrait par conséquent, vite se transformer en une autre source de calvaire pour les usagers.
Face à cet état des fai, on pourrait bien se poser la question de savoir, à qui finalement incomberait-il la responsabilité de ce type de mal être routier dans les villes du pays ?
Toutefois, habitué à toujours tenter de réparer au lieu de prévenir, on serait tenté de dire que “cette voie ne pourrait attirer l’attention des autorités compétentes que si un automobiliste finissait sa course au fin fond de ce trou, qui est progressivement entrain de se transformer en canyon.”
Vivement que cet élément de presse parvienne jusqu’aux différents lecteurs cibles, détenteurs de la décision. Car, dit-on, »vaut mieux prévenir que guérir.”
H.L
